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L'observatoire internationale du bonheur
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Waterfest’25 and happiness
Stewardship for water and biodiversity
Friday 14th march | 6 PM
Alliance Française de Pondichéry

World Happiness Report 2025
Dans le numéro de cette année, nous nous concentrons sur l’impact de l’attention et du partage sur le bonheur des gens. Tout comme la « miséricorde » dans Le Marchand de Venise de Shakespeare, la bienveillance est « doublement bénie » : elle bénit ceux qui donnent et ceux qui reçoivent. Dans ce rapport, nous étudions ces deux effets : les bénéfices pour les bénéficiaires du comportement bienveillant et les bénéfices pour ceux qui prennent soin des autres.

Droit au bonheur et au développement durable
Université d’automne de l’Institut Louis Favoreu
Du 25 au 27 septembre 2024
Aix-en-Provence
Programme en FLIPBOOK : https://online.fliphtml5.com
Programme en PDF : https://dice.univ-amu.fr
Vivian Labrie : Les juristes dans la cité - Aventures québécoises autour d’une proposition de loi citoyenne vers une société sans pauvreté (1997-2024)

International Happiness Day
Psychology and Happiness
23rd march 2024
Pondicherry
Respect the laws of nature. Appreciate and acknowledge other’s efforts. Collect knowledge from earlier generations and pass it on to future generations. Promote artistic creativity as part of school curriculum. Connect with rural life, love and preserve nature including all forms of sentient beings. Make little things towards others, it can make a big difference in their lives. Be a solace to other’s problems...
Les Assises du bonheur
Introduction
Pari gagné pour la première édition des Assises du Bonheur : près de 250 participants ont partagé deux journées de réflexion et d’échanges avec des intervenants venus de tous les horizons.
Les 9 et 10 septembre 2011, le Théatre de la Mer à Sète a été le point de rencontre de tous ceux, chercheurs, juristes, membres d’associations, public, qui, dans le cadre de leurs recherches, de leurs engagements professionnels ou personnels, contribuent au progrès sociétal.

Le thème fédérateur de la première journée – les mesures du bonheur – a permis de faire le point à partir des recherches en cours sur le sujet, de témoignages et d’expériences. En effet, les limites du Produit National Brut ou du Produit Intérieur Brut par habitant sont aujourd’hui communément admises. On voit depuis quelques années émerger une nouvelle génération d’indices qui ne se contentent plus de mesurer le bien-être à partir de la notion de richesse matérielle, mais qui essayent d’appréhender l’homme et son environnement.

Invité pour la première fois en France : M. Dorji Wangli, Ministre du Travail du gouvernement du Bhoutan, premier et seul pays à avoir inscrit le « Bonheur National Brut » dans sa Constitution et à avoir mis en application ce concept. Au cours de son intervention, M. Dorgi Wangli a rappelé la pertinence du lien entre droit et bonheur sociétal : « pour le fondateur du Bhoutan, les bases de la paix sociale et du bonheur doivent être inscrites dans le droit, dans la loi ».
Claire Plateau, pour l’INSEE, a exposé les enseignements tirés du rapport de la Commission Stiglitz sur la mesure de la performance économique et le progrès social et surtout comment la statistique publique contribuait à appliquer ces recommandations, à partir d’investigations fiables et éprouvées. Créée sur l’initiative du gouvernement français en 2008, dirigée par deux prix Nobel d’Economie, Joseph Stiglitzh et Amartya Sen, la commission avait pour but d’identifier les informations complémentaires qui pourraient être nécessaires pour mettre au point des indicateurs pertinents du bien-être social.
Autre pays, autre point de vue, autre témoignages : Vivian Labrie, du Québec, engagée depuis 1998 dans des actions de citoyenneté commune et d’éducation populaire, a expliqué le concept du « produit intérieur doux » né au cours de ces actions. Une démarche qui trouve ses origines dans le cadre du collectif « pour un Québec sans pauvreté », visant à réfléchir avec des personnes en situation de pauvreté sur la richesse et ses indicateurs.
Du Québec au Bhoutan, en passant par le Sénégal et la Hollande, les premières Assises du bonheur ont permis de confronter les points de vue et par là-même d’élargir le champ des connaissances et des recherches. Dans une ambiance détendue, un cadre exceptionnel propice à la réflexion et aux échanges– le Théatre de la Mer -, elles marquent sans conteste une étape importante pour l’OIB.
2016 3ème Assises Internationales du Bonheur
7 de coeur à Sète
2012 2ème Assises Internationales du Bonheur
7 de coeur à Sète
2011 Assises Internationales du Bonheur
7 de coeur à Sète
Dictionnaire Lexique de l'OIB
Jean-Gabriel FOUCAUD
Dictionnaire des mots du bonheur
Handicap - ébauche pour le dictionnaire
Jean-Gabriel FOUCAUD
Psychothérapeute et écrivain

Biographie :
Après des études de sciences politiques, de sciences économiques et d’histoire s’est tourné vers l’exercice de la psychothérapie ( sur une base de psychanalyse), pratiquée depuis plusieurs décennies. A enseigné en université ( psychologie et formation pour les professions de santé).
Depuis une quinzaine d’années, travaille à unifier les enseignements psychologiques issus de la culture européenne, ceux du Mexique ancien et des pratiques énergétiques de Sibérie et de Chine.
Outre sa pratique des psychothérapies, a constamment exercé des fonctions de conférencier et de formateur.
Bonheur, obsolescence et développement.
Un corps social, comme un corps humain, ont besoin de renouvellement en quantité comme en qualité. Trop de renouvellement entraîne implosion ou explosion, pas assez génère stagnation. Organiquement, un corps social, un corps humain suivent un cycle perpétuel de nouveauté comme un printemps, de mûrissement estival, d’intégration et de tri automnal, d’évacuation et de régénération hivernale, comme les plantes.
Stagnation et prééminence des vieilleries et routines : les jeunes ne peuvent ni s’installer, ni mettre en scène ce qu’ils ont appris dans la vie comme à l’université. Au plan des technologies, il est possible de programmer des nouveautés. Mais si elles ne sont pas intégrées, si on adore seulement la vitesse qu’elles permettent, les informations de plus en plus nombreuses qu’elles engendrent, sans avoir les stratégies d’intégration et de tri nécessaires, un nombre croissant de personnes sont mises hors-jeu. S’ensuivent sentiment d’exclusion et perte du sentiment d’utilité sociale, dévitalisation et blessure permanente tous âges confondus. A ce sujet, sociologues et juristes, thérapeutes et économistes ont un large champ d’action et de réflexion.
Mais les humains sont-ils seuls à avoir des droits pour éviter de s’empoisonner en d’incessantes querelles et dominations violentes ? Doivent-ils seulement prendre soin d’eux-mêmes sans examiner leurs relations avec les autres éléments de la réalité auxquels ils sont liés, monde animal, végétal entre autres. La terre est-elle seulement une ressource inépuisable ? Les accapareurs et les rapides sont les icônes de notre système social. Mais le monde est bien plus vaste que les relations sociales. Le monde auquel l’humain est organiquement lié est-il sans droits, si peu digne d’intérêt et de respect ?
Les luttes des peuples indigènes pour la dignité et l’amour de la Terre en tant que telle, pas seulement natale, a aussi de quoi attirer l’attention. Imaginons d’écouter la voix d’un double de l’OIB, l’OIM ou Observatoire international du Malheur. Si cet Observatoire existait effectivement,il aurait sans nul doute décerné l’oscar de la folie au Roi d’Espagne qui dévasta les forêts de son royaume pour créer « l’invincible armada », sans avoir souci de replanter leurs successeurs. Et un oscar supplémentaire à tous ceux qui s’accaparent les richesses sans souci d’autrui, du lendemain de la Terre et de ceux qui y vivront.
Rendre des humains obsolètes, tout comme dévaster la Terre, est le chemin quotidien du malheur. Ce malheur d’aujourd’hui engendrant de plus grands pour demain peut-il être inversé ? Peut-on concevoir de nouvelles façons d’exercer les pratiques du droit, de l’économie et de la sociologie, de la psychologie et de la médecine en intégrant les liens entre les humains et la Terre dans des pratiques sociales qui tiendraient compte des interactions et échanges entre eux et les autres règnes ? Ceci au lieu de considérer surtout les relations entre humains, comme si l’étude de leurs liens organiques au monde était suffisante et pouvait continuer à ce point de s’effectuer avec un souci minimum du lendemain. Bien vivre sur terre, bien vivre avec d’autres humains peut-il continuer avec de telles impasses ?
Recommandations aux auteurs
1. Soumission et évaluation d’une contribution
1.1. ENVOI DES PROPOSITIONS DE CONTRIBUTION
Les manuscrits doivent être envoyés en version électronique à l’adresse suivante : revuejuridiquedubonheur@oib-france.comIls peuvent être envoyés spontanément par les auteurs pour des publications hors dossiers, répondre à des appels à contribution publiés sur le site de la revue ou à des commandes. Toutes les soumissions suivent la même procédure d’évaluation et doivent être conformes aux recommandations définies dans le présent document.Le manuscrit ne doit pas excéder 60.000 signes (espaces compris) sauf dérogation. Les articles doivent être rédigés en français, en anglais ou en espagnol.Les textes et documents seront livrés aux formats Word pour les textes et les tableaux. Les fichiers originaux des illustrations devront être livrés, en même temps que le texte, au format JPG (à 300 dpi pour les photographies).
1.2. SÉLECTION DES CONTRIBUTIONS
La revue ne publie que des contributions originales qui n’ont pas fait l’objet de publication antérieures. Les articles envoyés dans leur intégralité sont évalués en aveugle par deux membres du comité éditorial. Si nécessaire, il est fait appel à des experts extérieurs. Les critères d’évaluation concernent le fond et la forme. La décision finale est prise par le directeur éditorial après avis des évaluateurs. Elle est transmise à l’auteur dans les meilleurs délais. Dans le cas des acceptations de publication avec corrections, l’auteur dispose d’un délai qui lui est notifié pour transmettre la version corrigée. Les soumissions acceptées pour publication sous réserve de modifications majeures peuvent faire l’objet d’une seconde évaluation interne. Le comité de rédaction se donne le droit de ne pas publier la soumission si les corrections requises n’ont pas été apportées.
1.3. CESSION DE DROITS
Les auteurs qui soumettent leurs articles à la revue acceptent de publier gratuitement leurs articles. Ils cèdent, à titre gratuit et non exclusif, les droits de diffusion papier et électronique qui permettent la diffusion libre et gratuite de la revue.Les auteurs conservent le droit de diffuser, selon les modalités de leurs choix, les articles publiés dans la revue à la seule condition, comme l’exige la législation, qu’apparaissent les références bibliographiques complètes, mentionnant la revue. Les auteurs peuvent notamment déposer la version publiée, en texte intégral, sur l’entrepôt universitaire de leur établissement.
2. Présentation de la contribution
2.1. POLICE DE CARACTÈRE
La police utilisée doit être le Times ou Times New Roman, taille 12.
L’italique doit être réservé aux mots étrangers et aux titres d’ouvrages ou de périodiques. Le gras doit être réservé pour les titres et sous-titres. Le soulignement est à proscrire.
2.2. STRUCTURATION DE LA CONTRIBUTION
Les textes doivent être structurés de la façon suivante :
- Titre
- Prénom Nom
- Affiliation ; fonction ; courriel ; site
- Résumé
- Mots-clés
- Titre traduit (en anglais et/ou en espagnol)
- Résumé traduit (en anglais et/ou en espagnol)
- Mots-clés traduits
- Introduction
- 1.
- 1.1.
- 1.1.1.
- 1.1.2.
- 1.2.
- 1.2.1.
- 1.2.2.
- 2.
- ....
- Conclusion
2.3. REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
Les références bibliographiques et autres doivent figurer dans les notes en bas de page. Une bibliographie doit être placée en fin de texte.
3. Bibliographie
Les références bibliographiques seront regroupées en fin de texte. Elles doivent inclure toutes les références mentionnées dans le texte.
Elles seront présentées selon les instructions suivantes :
3.1. LES OUVRAGES
Ouvrage individuel
Nom complet, initiales du prénom du premier auteur. et initiale du prénom. nom complet de l’auteur suivant (année). Titre en italique, Ville d’édition, Editeur, Collection.
- Prieur, M. (2014). Droit de l’environnement, Droit durable, Bruxelles, Bruylant.
Ouvrage collectif
Nom complet, initiales du prénom du premier directeur. & initiale du prénom. nom complet du directeur suivant (dir.) (année). Titre en italique, Ville d’édition, Editeur, Collection.
- Lemaire, F.(dir.) (2020). Penser et construire le bonheur : Regards croisés, Paris, Mare & Martin, Coll. Droit et Science Politique.
- Blaise, S., C. David et V. David(dir.)(2015). Le développement durable en Océanie, Vers une éthique nouvelle, Marseille, PU de Provence, Coll.Espace & Développement durable.
3.2. LES ARTICLES PARUS DANS DES REVUES
Article dans une revue papier
Nom complet, initiales du prénom du premier auteur. & initiale du prénom. nom complet de l’auteur suivant (année). « Titre de l’article », Nom de la revue en italique, volume (numéro de la revue) : pages.
• Naim Gesbert, E. (2014), « Physique de la précaution. L’écriture de trois théorèmes primordiaux pour le voir autrement », Revue Environnement et Développement durable, n°12, 2014, p. 17-19.
• Prieur, Met L. Vassalo(2019). « Le principe de non-régression et la biodiversité ? », Revue Juridique de l’Environnemt, 44:499-503.
Article dans une revue électronique
Nom complet, initiales du prénom du premier auteur. & initiale du prénom. nom complet de l’auteur suivant (année). « Titre de l’article », Nom de la revue en italique, URL :
- Laffaille, F. (2019). « Le droit au bonheur animalier –L’ours, l’Habeas Corpus et la Constitution écocentrique », Revue Juridique du Bonheur, http://www.oib-france.com/la-revue-juridique-du-bonheu/le-droit-au-bonheur-animalier, n° 1.
3.3. LES CHAPITRES D’OUVRAGE
Nom complet, initiales du prénom du premier auteur. & initiale du prénom. nom complet de l’auteur suivant (année). « Titre de l’article », dans initiales et nom du ou des directeurs de l’ouvrage (dir.), Titre de l’ouvrage, Ville d’édition, Editeur, Collection.
- Nicolas, G. (2016). « Lois du pays en matière de santé publique : une compétence à conquérir » in David, C. (dir.), Quinze ans de lois du pays, Aix-en-Provence, Ed. PUAM, 209-216.
3.4. LES DOCUMENTS D’ACCOMPAGNEMENT (TABLEAUX,IMAGES,PHOTOGRAPHIES...)
Tous les documents d’accompagnement doivent être numérotés et appelés dans le texte. Leur localisation exacte au sein du texte doit être précisée. Ils doivent être envoyés en format original et leur emplacement doit être précisé dans le texte.Chaque document doit être accompagné :
- d’un titre concis ;
- du (des) nom(s) de leur(s) auteur(s) ;
- des sources (nom de famille de l’auteur, initiale du prénom, année de publication et page) ;
- Légende s’il y en a.
Les soumissions qui ne respecteront pas les normes définies ci-dessus seront renvoyées à leur auteur sans avoir été soumis à évaluation.
Appel à contributions générique
L’Observatoire International du Bonheur (OIB) dont l’objectif principal est de placer au centre de la réflexion le bonheur et les valeurs fondamentales d’humanité,a créé en 2019 la Revue Juridique du Bonheur. Il travaille à la pleine reconnaissance du droit au bonheur, pour l’inscrire dans le paysage scientifique afin d’en accréditer la réalité et la légitimité, pour témoigner de sa vitalité et de l’aspiration des sociétés contemporaines à un renouvellement de la perception du monde.
La Revue Juridique du Bonheur a pour objectif la diffusion de solutions novatrices formulées par les instances internationales, nationales ou locales de par le monde, que ce soit par la voie réglementaire, législative, constitutionnelle, jurisprudentielle, coutumière ou encore sous la forme d’outils de soft law. Par ailleurs, la Revue Juridique du Bonheur souhaite accueillir des contributions théoriques pour participer activement à la construction d’une doctrine juridique du bonheur.
La Revue Juridique du Bonheur a vocation à accueillir toute proposition de publication liée au droit et au bonheur : contribution dans le cadre de dossiers thématiques, contribution sur thématique libre, retours d’expérience, chronique d’actualité législative et/ou jurisprudentielle. Il est également possible de signaler la parution d’ouvrages ou articles en lien avec le droit et le bonheur ou toute actualité législative, constitutionnelle ou jurisprudentielle qui alimentera la mise à jour des sections dédiées du site Internet de la Revue pour offrir aux personnes intéressées par les questions de droit et de bonheur un inventaire complet et actualisé.
Les articles accueillis par la Revue Juridique du Bonheur peuvent être aussi bien rédigés en français qu’en anglais ou en espagnol.
Ces propositions seront soumises à une évaluation anonymisée de deux rapporteurs membres du Comité de rédaction(ou si nécessaire par des experts extérieurs). Un comité de rédaction junior composé de doctorants et jeunes docteurs évalue les contributions des étudiants.
Les consignes éditoriales sont indiquées dans la rubrique "Soumission".
Les propositions sont à envoyer à Carine David, directrice éditoriale, à l’adresse suivante :
Évènements Parlement du bon Sens
OIB

Parlement du bon sens à Pondichéry
Pondichéry, 18 mars 2017
C’est avec une salve d’applaudissements qu’a été accueillie la nouvelle de la tenue du Premier parlement du bon sens en France, le 20 mars à Montpellier !
Que l’an prochain, un autre pays voit fleurir son premier Parlement a été le souhait émis par l’assemblée.
Parlement du bon sens à Pondichéry
20 Mars 2016
Une cinquantaine de personnes de vastes segments de la société
(travailleurs journaliers, médecins, chauffeurs d’utilitaires, avocats,
travailleurs sociaux, femmes au foyer, étudiants, agriculteurs, lycéens…)
et de tous âges, ont été invitées à présenter, chacune en 3 minutes, une
proposition concrète pour améliorer le bonheur sociétal à Pondichéry et
ses environs.
20 idées ont ainsi été présentées, accompagnée de suggestions pour
leur implémentation.
Des discussions passionnées ont ensuite eu lieu en petits groupes...
Évènements Les 10 ans de l'OIB
2020

Kôlams à Edayanchavadi
En l’honneur d’Oscar, professeur venu d’Espagne, passionné par les liens entre les Kôlams, dessins traditionnels du pays tamoul, et les mathématiques qu’il enseigne, l’OIB, a invité ces artistes du quotidien du village d’Edayanchavadi à faire naître sous leurs mains gracieuses ces oeuvres éphémères faites de poudres qui nous rappellent à notre joyeuse impermanence.
MédiaRevue de presse
La presse en parle
Midi Libre
Sète Assises du bonheur : l’oasis qui défie la crise
Le bonheur national brut : un concept développé l’année dernière, lors des Assises du bonheur,
par le ministre du travail du Bouthan.
12/09/2012
Télécharger La Dépêche du Midi
Pendant deux jours, deux cents personnes, avocats, psychologues ou simples militants du bien-être (…) ont croisé témoignages, expériences et expertises. Ils ont cherché à mesurer et à valoriser la notion de bien-être et de bonheur en contrepoint des concepts productivistes et consuméristes qui mènent le monde sur fond de produit intérieur brut.
10 septembre 2011
Télécharger La Croix.com
Débats, conférences, concerts… Pendant deux jours, les premières assises du bonheur, se tiennent à Sète (Hérault), sous la houlette de l’Observatoire international du bonheur. Cette toute jeune association créée, non par des psychologues ou des philosophes, mais par des avocats de l’École de Formation des Avocats Centre Sud, a pour vocation de devenir un institut de recherche.
11 septembre 2011
Télécharger Le Parisien / Aujourd’hui en France
Le bonheur, aujourd’hui, ça se calcule
Ils ont choisi le Théâtre de la mer, à Sète (Hérault), un site réputé pour sa beauté et son harmonie. Il fallait bien cela pour accueillir les premières Assises du bonheur jamais organisées en France. Plus de deux cent médecins, chercheurs, psychologues ou personnalités sont rassemblés depuis hier et jusqu’à ce soit pour échanger sur cette question abyssale : qu’est ce qui fait le bonheur des gens ? (…) Ce sont d’ailleurs des Français qui ont créé l’Observatoire International du Bonheur (OIB), organisateur de ces assises. Et pas des philosophes ou des psys, non, des avocats ! Rompus aux malheurs de leurs clients, ils ont voulu contribuer à cette réflexion profonde sur le sens de la vie.
Edition du 10 septembre 2011
Télécharger Midi libre
A Sète, on sait mettre le bonheur en équation
Ce n’est pas une secte mais peut-être une nouvelle religion laïque dans l’air du temps, en période de crise. Ce week-end, les premières Assises du bonheur à Sète (Hérault), ont fait recette. L’apaisant théâtre de la Mer où calme, sourires et politesse étaient de mise, a réuni un juge indien , une statisticienne de l’Insee chargée de la performance économique et du progrès social, un universitaire de Rotterdam et ses bases de données mondiales du bonheur...
Et une vedette : en tenue traditionnelle, le ministre du Travail du petit État du Bhoutan (700 000 habitants) qui, bien que démocratique depuis à peine deux ans, interpelle la planète avec son concept de bonheur national brut.
Edition du 12 septembre 2011
TéléchargerMédia Émissions radio
OIB
Existe-t-il un "droit au bonheur" ? | France Culture
En quoi la réglementation peut-elle favoriser l’accès au bonheur des citoyens ? Faut-il aller plus loin et déclarer un droit "droit au bonheur", entendu comme droit exigible ?
Avec Alexandre Jost, président-fondateur de La Fabrique Spinoza, Carine David, professeure de droit public à l’université d’Aix-Marseille et membre sénior de l’Institut universitaire de France.
Publié le mercredi 11 décembre 2024
Avec Alexandre Jost, président-fondateur de La Fabrique Spinoza, Carine David, professeure de droit public à l’université d’Aix-Marseille et membre sénior de l’Institut universitaire de France.
Publié le mercredi 11 décembre 2024
Billet d’humour Paul Henri Antonmattei
Paul Henri Antonmattei
Bonheur et Sport
Interview Rémy Levy
Avocat au barreau de Montpellier, ancien bâtonnier, Président de Montpellier handball et vice-président de la LNH
Avocat au barreau de Montpellier, ancien bâtonnier, Président de Montpellier handball et vice-président de la LNH
Que du bonheur ! les billets d’humeur de l’OIB du mois de juin 2017 - FM-plus
Le projet de L’Observatoire international du bonheur c’est de réussir à vivre en société en étant heureux. Une assocation créée et menée par des avocats, pour lesquels le bonheur doit être un vrai programme des organes de décision des pays, des villes. La 1ère édition des Assises internationales du bonheur ont eu lieu à Sète en 2010, les secondes en 2012 et la troisième en 2016. FM Plus 91 FM à Montpellier y était pour cette 3ème édition et en a rapporté des Billets d’humeur de bonheur.
RADIOFMPLUS : radiofmplus.org/bonheur-billets-dhumeur-de-loib-mois-de-juin-2017/
RADIOFMPLUS : radiofmplus.org/bonheur-billets-dhumeur-de-loib-mois-de-juin-2017/
ITW Bonheur
3èmes assises
Radio Escapades
Assise internationale du bonheur
26/09/2016
26/09/2016
France Bleue
13/09/2012
OIB-2012 interviews radio lenguadoc
Francois Roux
OIB-2012 interviews radio Lenguadoc
MICHELE-TISSEYRE
Journal L'OIB A DEUX ANS
Avril 2012
Le 21 mai 2010, les statuts de l’Observatoire International du Bonheur étaient votés en Assemblée Générale constitutive. L’EFACS, en créant l’OIB, a relevé un défi de taille qui semble, après deux années d’activité, sur la voie du succès.
L’Observatoire International du Bonheur n’a pas la prétention de donner une énième définition du bonheur : son champ d’intervention est le bonheur sociétal. Son objectif : faire progresser la notion de progrès sociétal en plaçant au centre de la réflexion sur le bonheur, les valeurs fondamentales d’humanité, qui fondent le socle du droit.
De par le monde, gouvernants et scientifiques – qu’ils s’intéressent aux sciences humaines ou aux sciences exactes – prennent conscience des limites de la notion de progrès lorsque celle-ci ne s’exprimait que par le simple accroissement des richesses et de la production industrielle. L’individu, dans la perception du monde qui l’entoure, même s’il réagit nécessairement à ses conditions matérielles d’existence, ne réduit pas à celles-ci seules, la satisfaction de ses aspirations.
Lieu de rencontre, de partage et de réflexion, international et transdisciplinaire, l’OIB veut participer à la stratégie internationale de recherche pluridisciplinaire et d’innovation en matière de progrès sociétal et de bonheur. Tous ceux qui, par le champ de leurs recherches, contribuent à cet objet en créant une synergie entre chercheurs, enseignants, étudiants et citoyens d’horizons différents sont invités à communiquer, échanger afin de contribuer à la production de nouvelles connaissances. Les projets mis en œuvre dans le cadre de l’OIB se doivent d’être innovants, transversaux, avec une dimension internationale et transdisciplinaire. A terme, ils doivent ouvrir la voie à l’élaboration d’un droit du progrès sociétal dans une approche respectueuse des diversités culturelles.
L’OIB est une association sous le régime de la loi 1901, (association à but non lucratif). Laboratoire d’excellence de l’EFACS (Ecole de Formation des Avocats Centre Sud), il est doté d’un conseil scientifique composé d’éminents juristes originaires de différentes cultures. Ce Conseil a pour rôle de guider les travaux et contributions des membres de l’OIB. (voir encadré)
Le paradigme de recherche du conseil scientifique ne pourra qu’être pluriel. Il se place dans une perspective où les différentes cultures de par le monde peuvent être divergentes et convergentes. Par conséquent, l’analyse d’un thème tel que le bonheur doit nécessairement prendre en compte le multiculturalisme qui caractérise notre monde contemporain.
Les thèmes abordés sont variables. On retrouve notamment la question du bonheur et du travail, la question du bonheur et de la souffrance dans le monde médical, du bonheur et du droit du développement durable, du bonheur et de l’agronomie, de l’histoire du bonheur et de l’histoire des sciences, du bonheur et de la gestion du stress.
Autant de sujets que de membres motivés à réfléchir sur ces questions et à jouer un rôle d’influence dans le but d’une meilleure gouvernance.
- Abdullah Cissé, Professeur des universités (Sénégal), Membre associé de l’Institut de droit international
- David Annoussamy, juge honoraire (Inde), Membre de l’Académie des sciences d’Outremer (France)
- José Maria Cueto de Alvarez de Sotomayor, avocat (Espagne) - expert consultant pour l’Union Européenne
- Isabella Micali Drossos, avocat – Juriste senior à la banque mondiale (Brésil – Australie)
- Alexandre Cordahi, avocat (France - Liban) - expert consultant pour l’Union Européenne




Droits de l’Homme - Droit constitutionnel

Décembre 2010 : la première manifestation de l’OIB était destinée à présenter l’OIB et au lancement des travaux préparatoires et s’est déroulée à l’IAMM de Montpellier.
Au cours de son intervention, Yamouna David, avocat honoraire et membre délégué du Conseil d’Administration de l’OIB, a proposé une mise en perspective entre vision occidentale et orientale du bonheur afin d’ouvrir les champs de recherche de l’OIB. Alexandre CORDAHI …… Abdoullah Cissé, Professeur des universités (Sénégal) et membre du Conseil scientifique de l’OIB, s’est interrogé sur le degré d’aptitude des savoirs et des techniques juridiques à appréhender le bonheur, concept fuyant qui refuse de se soumettre à la discipline des instruments de la science juridique. François ROUX, Chef du Bureau de la défense au Tribunal pénal international pour le Liban, a fait le lien entre droit, bonheur et Constitution, pour déterminer les perspectives ouvertes par ce lien. Jean Timsit, avocat au Barreau de Paris et Fondateur de Projet Plus, a présenté l’état des connaissances sur « la science du bonheur », notamment au regard des progrès récents des sciences humaines et de la neurobiologie.




- Septembre 2011 : les Assises du Bonheur, deux journées de réflexion et de partage sur le bonheur sociétal et le bonheur, avec des intervenants issus de différents horizons.
- Octobre 2011 : Convention Nationale de Nantes. Le stand de l’OIB, convivial, chaleureux, décalé, a surpris et réjoui les avocats venus à la Convention. La présence de ce stand a donné en quelques sortes « l’autorisation » à de très nombreux avocats d’aller aux ateliers sur le bonheur et la joie professionnelle, sur le droit et le bonheur.
- Novembre 2011 : Participation au Séminaire sur le Droit, la Justice et le Développement de la Banque Mondiale à Washington, sur invitation du service juridique de la Banque Mondiale.
- En préparation pour avril 2012 : participation à la table ronde de l’ONU à New-York sur le bonheur et le bien-être à l’initiative du Bhoutan, sur le volet « droit et bonheur ».
Le journal de l’OIB - Édition 2012
Découvrez le chemin parcouru par l’OIB dès les premières années
Conférence Colloque sur la Justice transitionnelle et Parlement du Bon Sens
Vendredi 16 juin 2017 à Montpellier
Sortie de conflit et résilience
L’OIB, en qualité de partenaire de l’association Juristes sans frontières (JSF) du barreau de Montpellier, a contribué à l’organisation et au déroulé d’un colloque sur le thème : « La Justice Transitionnelle, mode de règlement des conflits pour l’avenir ? L’exemple de la Tunisie, la RCA et demain, la Syrie ? »
Ce colloque s’est tenu dans les locaux de la faculté de droit de Montpellier, également partenaire. Voire annexe pour le programme détaillé.
Le drame des conflits qui déchirent les peuples est un enjeu majeur pour la question du bonheur sociétal.
Les échanges croisés d’universitaires de Faculté de droit de Montpellier et de Nîmes, d’avocats impliqués dans la mise en place des procédures judicaires internationales post-conflits, et de juristes internationaux partageant le vécu sur site, ont donné aux échanges une densité particulière qu’il est difficile de retranscrire, tant le sujet a été abordé avec humanité, sérieux, sans fard, avec le recul qu’amène le regard des scientifiques qui permettent de remettre en perspective ce qui, sans cela, serait intolérable.
José Maria Cueto, Vice-président de l’OIB est intervenu en duplex. Il a pu exposer la situation en
République de Centre Afrique et répondre en direct aux questions des participants. Il a notamment pu exposer comment la situation d’insécurité, prévalant toujours dans le pays, rend très difficile toute mise en place d’un processus judiciaire permettant aux victimes de pouvoir se dévoiler et s’exprimer sans risques, ce qui est un préalable à toute mise en œuvre de règlement de conflits.
Il en est ressorti que mettre en place la Justice transitionnelle dans un pays encore en guerre était très difficile. Assurer la protection des victimes est un préalable incontournable.
Maître Anissa Tabai Bouricha, du Barreau de Tunis a également pu apporter un témoignage direct, professionnel, et répondre aux multiples questions des participants, passionnés de pouvoir échanger ainsi sur un thème aussi sensible. Me Tabai Bouricha a été de son côté très intéressée par l’OIB et a témoigné son soutien en devenant membre à l’issue du colloque.

A l’issue de ces présentations et débats, l’OIB a tenu un Parlement du Bon sens sur le thème « sortie de conflit et résilience ». C’était la première expérience d’un parlement thématique. Vu les résultats, il a été décidé de la reconduire pour 2018. 18 suggestions ont été émises et débattues, avant de procéder au vote pour en retenir 7.
- Veiller à ce que toute procédure soit réellement adaptée aux situations et aux cultures spécifiques des pays concernés,
- Organiser une formation à la Justice transitionnelle pour tous les professionnels concernés, et notamment, les forces de police,
- Assurer de manière certaine la protection de la parole et la sécurité des victimes,
- Favoriser les échanges entre acteurs de la Justice transitionnelle,
- Autoriser l’accès partagé aux archives documentaires et diplomatiques,
- Permettre un « récit historique « coécrit, en vue du processus de résilience,
- Prendre en compte la protection des crimes environnementaux.
Conférence Law Justice and Development week – Banque mondiale
19 Novembre 2015 à Washington DC

Isabella MICALI DROSSOS, avocate, membre du comité scientifique de l’OIB, a exposé le succès de l’atelier du 19 Novembre 2015 dans le cadre de la semaine "Droit, Justice et Développement" ("Law, Justice and Development") organisé par le département juridique de la Banque Mondiale à Washington DC.
Programme de l’atelier :
MODERATOR
Susan Karamanian Associate Dean for International and Comparative Legal Studies, The George Washington Law School
SPEAKERS
Nicola Bonucci Director for Legal Affairs, OECD (Opening Remarks)
Genevieve Boyreau Senior Economist and Resident Representative in Bhutan, The World Bank
Yamouna David Avocat Honoraire au Barreau de Paris and Development Manager, International Happiness Observatory
Carol Graham Leo Pasvolsky Senior Fellow, Brookings Institution, and College Park Professor, University of Maryland School of Public Policy
James E. Foster Professor of Economics and International Affairs, Elliott School of International Affairs, George Washington University
SESSION COORDINATORS
Isabella Micali Drossos Senior Counsel, World Bank, and Giovanni Bo, Counsel, World Bank

Lors de la session intitulée "Le bonheur est-il le but ultime du développement économique et social", il a été débattu des récents développements liés à la question du bonheur collectif et du bien-être sociétal en tant qu’outil de politique de développement économique et social, et en tant qu’indicateur de gouvernance, dans la perspective générale de la résolution de l’ONU 2011 65/309 sur le "Bonheur : vers une approche holistique du développement".
Ont été ainsi analysées quelques réponses institutionnelles, opérationnelles et de recherche combinant le bonheur, le bien-être, la bonne gouvernance et de développement durable, comme le Better Life Index de l’OCDE ("comment va la vie ?"), les expériences menées en Inde et le partenariat de la Banque mondiale avec le Bhoutan.
Cela a été une intervention importante pour assurer notre reconnaissance au niveau international comme acteur de la réflexion et de mise œuvre du bonheur sociétal. Cela a également été l’occasion d’énoncer à nouveau la notion de droit au bonheur avancée pour la première fois en début de mois à Paro, au Bhoutan.
Enfin, il a été rappelé que l’ONU, dont la banque mondiale est une émanation, fixe un objectif fondamental de poursuite du bonheur pour l’humanité. Un travail de prospective juridique a été proposé dans le cadre du GLFDJ pour élaborer le droit de demain, qui devra inclure le Droit de l’homme a la poursuite au Bonheur, étant rappelé qu’il existe déjà une nébuleuse du droit au bonheur, constituée de droits induits et de droits déduits.
Conférence Conférence internationale sur le Bonheur national brut au Bhoutan
Du 3 au 6 Novembre 2015 au Bhoutan
Ce grand rassemblement international est organisé a minima tous les 5 ans, chaque fois dans un pays différent.
Extraits

…The solution clearly lies in changing the very purpose and goal of development. If the basic purpose of development were changed from the pursuit of profit to the pursuit of higher wellbeing in all its dimensions, the true level of happiness on the planet would certainly go up. The Stiglitz Sen Fitoussi Commission stated this. The Beyond GDP initiative in Europe recognizes it. The array of new wellbeing initiatives in measurement and action testify to it.
…Likewise, unlike many countries in which the environment has been a low priority for public investment and policy formation, Bhutan maintains a strong commitment towards environmental conservation. Bhutan has 72.5% forest coverage ; with more than half of its total land area designated as protected areas.
And so, a very positive state of the natural environment has directed Bhutan to pursue a green economy.
…The green economy also requires us to sustain good practices for example in agriculture. Bhutan’s food production has always been primarily organic. Yet unless we consciously recognize and affirm its value to our environment and economy, it may decline. We already see some potatoes being grown with fertilizer. Within the next five years, Bhutan will move to consolidate our sustainable and organic agricultural practices as even more reinforced policy.
…Businesses must explore fostering happiness and wellbeing as an alternative business purpose. Such a focus requires a paradigm shift in how leaders think about the purpose of business. Only then will business regain its rightful place as one of the important pillars on which we can build personal and societal success.
A recent example of our own efforts to shift the business paradigm is our Economic Stimulus Plan. The Economic Stimulus Plan began with the twin purposes of empowering people and ensuring balanced equitable socio-economic development.
… Together, we must work to build societies that are sustainable in every way and offer a better quality of life for everyone. We must lead by example. And we must cheer one another when we are tired or discouraged.
I am confident that this conference will enable people to find new ways of engaging with each other, having meaningful conversations, asking the right questions and seeking and finding ways to inspire change.
L’OIB a été invité à présenter le rôle du droit dans la construction du bonheur sociétal en séance plénière de clôture. L’intervention a été très appréciée par les participants qui ont exprimé découvrir l’importance du droit trop oublié dans les réflexions d’avenir et de société.
La notion d’un droit fondamental aux conditions objectives permettant la poursuite du bonheur a été évoquée pour la 1ère fois à cette occasion.
Ce nouveau droit fondamental, à caractère universel et matriciel a été mis en perspective par rapport à la notion, à élaborer aussi, de l’empreinte bonheur.
Ce sera le point de départ d’un long travail à venir pour l’OIB.

La délégation de l’OIB était composée de 4 membres actifs : AROULE Ginette et Pascal, DAVID Yamouna et GAMBIER Alain.
Des discussions passionnées entre les membres de la délégation ont précédé l’intervention faite au nom de l’association sur les notions d’empreinte bonheur et de droit au bonheur.
Pour la transparence, il est précisé que les membres se sont déplacés à leurs frais, pour un total de 3200 euros environ.
Outre le coût, la complexité des démarches à effectuer pour pouvoir se rendre sur site dans les créneaux prévus, les rares vols étant très vite complets et les visas très encadrés, explique que la délégation est passée de 11 à 4 membres.
Passés ces obstacles, la délégation a été très favorablement impressionnée par le sens de l’accueil des organisateurs bhoutanais par des touches d’attention qui méritent d’être relevées, comme par exemple de prévoir sur le site de la conférence un accueil médical (hors urgences) de médecine traditionnelle et allopathique, des cartes Sim touristes pour rester en contact avec les siens restés à l’étranger, des cartes postales gratuites et pré timbrées ainsi qu’un service postal, un service bancaire pour retirer ou changer de l’argent.
La culture (chants, danses et musique), le sens de l’esthétique et la convivialité (feu de camp et danses) rajoutait à la finesse de l‘hospitalité. Quant au respect de la nature, il était agréable que les « tapis » ne soient pas comme dans les grandes conférences faits de matériaux non recyclables : des aiguilles de pins, mais certainement pas ignifugés norme M1…

La conférence a duré 3 jours avec des séances en plénières et des ateliers.

Jigme Khesar, Namgyel Wangchuck, Roi du Bhoutan qui est venu partager une matinée avec les conférenciers a lancé, lors d’un temps d’échange informel :
« Les personnes raisonnables ne peuvent qu’adopter le bonheur national brut. Les personnes déraisonnables changent le monde. Je formule le vœu que vous soyez tous des personnes déraisonnables ».
Conférence Le développement durable en oceanie : VERS UNE ETHIQUE NOUVELLE ?
24, 25 et 26 avril 2013 - Province Nord de Nouvelle-Calédonie
Avocate Senior – Banque Mondiale
La violence domestique dans la région Pacifique : une question urgente pour un développement durable en Océanie
Spécialiste en Gestion Financière
Développement durable et responsabilisation : Le rôle des Cours des Comptes de la région Pacifique dans la responsabilisation (« accountability »)
Conférence Le bonheur d'être avocat
Bruxelles 7 septembre 2012

Avocat honoraire
Directrice de la formation continue de l’EFACS
Vice-Présidente de l’OIB
Le droit au service du progrès sociétal
ConférenceConférence internationale sur le Bonheur national brut
Le 06 et 07 Octobre 2010 au Bhoutan






Honorary advocate – Equanime Lex International – Paris
Director of Professional Training of advocates – EFACS
Delegate of the International Happiness Observatory
Population, Law and Dharma
Franco-Bhutanese comparative overview
Conférence Droits de l'Homme, Droit constitutionnel, Prospective
Vendredi 10 Décembre 2010 à Montpellier




Avocat honoraire, Directrice de la formation continue de l’EFACS
Le bonheur : regards croisés
Rapports Rapports d'activité
OIB
Rapports World Happiness Report
worldhappiness.report

World Happiness Report 2024
In this issue of the World Happiness Report we focus on the happiness of people at different stages of life. In the seven ages of man in Shakespeare’s As You Like It, the later stages of life are portrayed as deeply depressing. But happiness research shows a more nuanced picture, and one that is changing over time. We encourage you to explore the 2024 report for the latest findings on the happiness of the world’s young, the old – and everyone in between.
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World Happiness Report 2023
It has been over ten years since the first World Happiness Report was published. And it is exactly ten years since the United Nations General Assembly adopted Resolution 66/281, proclaiming 20 March to be observed annually as International Day of Happiness. Since then, more and more people have come to believe that our success as countries should be judged by the happiness of our people. There is also a growing consensus about how happiness should be measured. This consensus means that national happiness can now become an operational objective for governments.
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World Happiness Report 2022
This year marks the 10th anniversary of the World Happiness Report, which uses global survey data to report how people evaluate their own lives in more than 150 countries worldwide. The World Happiness Report 2022 reveals a bright light in dark times. The pandemic brought not only pain and suffering but also an increase in social support and benevolence. As we battle the ills of disease and war, it is essential to remember the universal desire for happiness and the capacity of individuals to rally to each other’s support in times of great need.
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World Happiness Report 2021
The World Happiness Report 2021 focuses on the effects of COVID-19 and how people all over the world have fared. Our aim was two-fold, first to focus on the effects of COVID-19 on the structure and quality of people’s lives, and second to describe and evaluate how governments all over the world have dealt with the pandemic. In particular, we try to explain why some countries have done so much better than others.
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World Happiness Report 2020
The World Happiness Report is a landmark survey of the state of global happiness that ranks 156 countries by how happy their citizens perceive themselves to be. The World Happiness Report 2020 for the first time ranks cities around the world by their subjective well-being and digs more deeply into how the social, urban and natural environments combine to affect our happiness.
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World Happiness Report 2019
The World Happiness Report is a landmark survey of the state of global happiness that ranks 156 countries by how happy their citizens perceive themselves to be. The World Happiness Report 2019 focuses on happiness and the community : how happiness has evolved over the past dozen years, with a focus on the technologies, social norms, conflicts and government policies that have driven those changes.
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World Happiness Report 2018
The World Happiness Report is a landmark survey of the state of global happiness. The World Happiness Report 2018, ranks 156 countries by their happiness levels, and 117 countries by the happiness of their immigrants. The main focus of this year’s report, in addition to its usual ranking of the levels and changes in happiness around the world, is on migration within and between countries.
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World Happiness Report 2017
The first World Happiness Report was published in April, 2012, in support of the UN High Level Meeting on happiness and well-being. Since then the world has come a long way. Increasingly, happiness is considered to be the proper measure of social progress and the goal of public policy. In June 2016 the OECD committed itself “to redefine the growth narrative to put people’s well-being at the center of governments’ efforts”. In February 2017, the United Arab Emirates held a full-day World Happiness meeting, as part of the World Government Summit. Now on World Happiness Day, March 20th, we launch the World Happiness Report 2017, once again back at the United Nations, again published by the Sustainable Development Solutions Network, and now supported by a generous three-year grant from the Ernesto Illy Foundation.
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World Happiness Report 2016
The World Happiness Report 2016 Update, which ranks 156 countries by their happiness levels, was released in Rome in advance of UN World Happiness Day, March 20th. The widespread interest in the World Happiness Reports, of which this is the fourth, reflects growing global interest in using happiness and subjective well-being as primary indicators of the quality of human development. Because of this growing interest, many governments, communities and organizations are using happiness data, and the results of subjective well-being research, to enable policies that support better lives.
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World Happiness Report 2015
Since it was first published in 2012, the World Happiness Report demonstrated that well-being and happiness are critical indicators of a nation’s economic and social development, and should be a key aim of policy. This year’s report looks at the changes in happiness levels in 158 countries, and examines the reasons behind the statistics. The World Happiness Report 2015 also comes in advance of three high-level negotiations that will give world leaders the opportunity to reshape the global agenda and move the world towards a sustainable development agenda that includes well-being as an essential element.
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World Happiness Report 2013
The second World Happiness Report, released on Sept 9th 2013, further strengthens the case that well-being should be a critical component of how the world measures its economic and social development.
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World Happiness Report 2012
The 2012 World Happiness Report, published by the Earth Institute and co-edited by the institute’s director, Jeffrey Sachs, reflects a new worldwide demand for more attention to happiness and absence of misery as criteria for government policy. It reviews the state of happiness in the world today and shows how the new science of happiness explains personal and national variations in happiness.
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